un membre du Mouvement du 20 février fustige Mohammed VI et dénonce son train de vie fastidieux,
lorsque son peuple manque de tout.
Le courageux jeune qui a pris la parole devant un mur de forces de l'ordre a cité l'exemple
de l'animalerie du monarque qui engloutit à elle seule un budget colossal. Impassibles,
les policiers et mokhaznis écoutent doctement, avec un air de trouver leurs salaires
bien misérables à côté des dépenses des toutous de Sa Majesté.
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