L’ijithâd des cœurs, c’est aussi se surpasser positivement dans l’épreuve, et éviter l’écueil de faire précisément ce que les artisans du désastre attendent de tous les musulmans : céder aux plus viles pulsions en commettant l’irréparable, et déterrer la hache de guerre de la religion.
Alors, plus que jamais, oui à la saine indignation, éclairée car rationnelle et argumentée, refusant que la liberté d'expression soit le paravent d'un racisme sournois et organisé, non à la loi du Talion qui fait parler les armes, et conduit à la dramatique impasse dans laquelle on aimerait acculer les fidèles des cinq continents !
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