À partir de ce samedi 15 septembre et pendant un mois, les autorités italiennes vont accueillir les demandeurs de régularisation pour plusieurs centaines de milliers d’immigrés en Italie, du moins selon les estimations courantes.
il n’y a aucune limite pour la demande. tout ceux qui remplissent les conditions pour être régularisé en Italie indépendamment de la date de présentation de leurs demandes. Bien entendu avant l’échéance du 15 octobre.
le gouvernement italien a pris cette période pour mettre en règle, non pas les salariés mais justement les employeurs. Ils sont en effet appelés à se manifester. Toute entreprise ou famille en Italie faisant travailler au noir des étrangers doit les régulariser. Pour cette régularisation en Italie, les irréguliers étrangers devront prouver qu’ils étaient en Italie avant le 31 décembre 2011, et ce sur la base d’un document officiel. Histoire d’éviter que cette régularisation ne devienne un appel à venir en Italie.
En tout cas, selon les estimations de l’Association caritative de l’église catholique, entre 200.000 et 400.000 sans papiers devraient profiter de cette opportunité. En sortant ainsi du travail au noir, une vraie plaie sociale en Italie, aussi bien dans les secteurs du bâtiment, agriculture et textile … mais aussi de l’emploi auprès des familles.
il n’y a aucune limite pour la demande. tout ceux qui remplissent les conditions pour être régularisé en Italie indépendamment de la date de présentation de leurs demandes. Bien entendu avant l’échéance du 15 octobre.le gouvernement italien a pris cette période pour mettre en règle, non pas les salariés mais justement les employeurs. Ils sont en effet appelés à se manifester. Toute entreprise ou famille en Italie faisant travailler au noir des étrangers doit les régulariser. Pour cette régularisation en Italie, les irréguliers étrangers devront prouver qu’ils étaient en Italie avant le 31 décembre 2011, et ce sur la base d’un document officiel. Histoire d’éviter que cette régularisation ne devienne un appel à venir en Italie.
En tout cas, selon les estimations de l’Association caritative de l’église catholique, entre 200.000 et 400.000 sans papiers devraient profiter de cette opportunité. En sortant ainsi du travail au noir, une vraie plaie sociale en Italie, aussi bien dans les secteurs du bâtiment, agriculture et textile … mais aussi de l’emploi auprès des familles.
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