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vendredi 29 juin 2012

GENIAL : SERVAL : APPLICATION ANDROÏD POUR TÉLÉPHONER GRATUITEMENT (PHOTOS ET VIDÉO)



Serval est une application Androïd qui permet à un groupe de smartphones Android de se connecter entre eux sans carte SIM ni antenne relais. Serval peut-il réellement nous libérer de la toute-puissance des opérateurs mobiles ?


Serval vient donner un grand coup de pied dans la fourmilière de la téléphonie mobile. Si cette applicationAndroid se développe elle peut probablement nous libérer des opérateurs pour passer un coup de fil et passer outre les contrôles de l'état. Serval fonctionne comme un réseau "Mesh" : il permet de développer des réseaux maillés, temporaires et mouvants qui sont totalement indépendants d'un réseau centralisé comme ceux utilisés par opérateurs de téléphonie mobile. Quand les Smartphones Androïd sont proches les uns des autres ils se connectent directement. L'envoi de SMS comme les appels peuvent désormais se faire gratuitement sans passer par les antennes opérateurs tout en conservant son numéro de téléphone. La distance d'utilisation de Serval reste limitée à quelques centaines de mètres mais le réseau maillé permet à un autre téléphone Serval - situé entre les 2 téléphones - de prendre le relais et de servir de point de retransmission.
android application serval mesh reseau maille photo avatarAPPLICATION SERVAL POUR TÉLÉPHONER GRATUITEMENT ET LIBREMENT
C'est avec l'aide d'étudiants de l'Institut national de sciences appliquées de Lyon (INSA) que le chercheur Australien Paul Gardner-Stephen a inventé ce procédé. Selon ces propos rapportés dans leMonde Geo & Politique cette invention restaure les potentialités des téléphones mobiles. Les opérateurs auraient même retardé depuis les années 80 la mise en place de tels réseaux "simples et bon marché". Pour lui les compagnies de téléphone "voulaient préserver leur modèle pyramidale contrôlé par le haut (…) et commercialement très profitable". Serval annonce peut-être la fin d'une aire de domination de quelques grands opérateurs, en tout cas le logiciel va probablement faire de l'ombre à leurs profits. Plus personne n'aurait besoin de passer par leurs relais et donc, de souscrire à leurs forfaits.
Pour le moment Serval se sert des émetteurs WiFi des téléphones et des bornes WiFi alentours. Ce réseau est libre de tout contrôle. Les prochaines versions de l'application Android utiliseront probablement l'émetteur principal du téléphone utilisant des fréquences GSM dont la portée est plus importante. Ces dernières sont soumises à autorisation et au contrôle d'organismes au niveau européen. Notamment l'ARCEP en France. Cela pourra poser des problèmes juridiques. On avait vu toutes sortes d'application Android - comme l'application pour suivre le lancement du prochain Samsung Galaxy S3 - mais là ils ont fait fort ! Serval est disponible surGoogle Play.
APPLICATION SERVAL POUR TÉLÉPHONER GRATUITEMENT ET LIBREMENT
L'impact de Serval en France et dans le monde n'est pas encore mesurable. Son créateur compte l'utiliser à des fins humanitaires dans un premier temps. Notamment dans les régions du tiers monde délaissées par les opérateurs ou encore dans les zones ou les réseaux ont été détruits. De bonnes intentions qui pour le moment paraissent irréalisables tant que les populations du tiers monde ne possèdent pas de smartphone Android… En tout cas dans les zones denses où les Smartphones sont répandus le potentiel de Serval est gigantesque. Il pourrait permettre de créer des réseaux immenses et hors de contrôle des états et des opérateurs. On peut imaginer des sociétés 2.0 libres de toutes contraintes, ou l'interconnexion entre citoyens seraient garanties et gratuites pour tous. Encore faut-il que les états ou les lobbies des opérateurs téléphoniques ne viennent pas mettre leur nez la dedans.

Pas facile d'être gay ou lesbienne au Maroc

Au Maroc, au royaume de Mohammed VI, être homosexuel, gay, lesbienne, bisexuel ou trans, reste un tabou culturel et sociétal. De nombreux couples lesbiens et gays, parfois très pratiquants, doivent se cacher pour s'aimer.

De nombreux couples homosexuels marocains doivent se cacher pour s'aimer. Photo: Global Post
Le Maroc, libéral mais pas trop...

Le Maroc est souvent considéré comme l’un des pays musulmans les plus libéraux. Les signes d’affection entre filles sont d’ailleurs choses communes. Certaines se promènent main dans la main, d’autres se font la bise entre copines. Mais quand cette affection devient romantique, et que les femmes veulent vivre ouvertement, en tant que lesbiennes, les Marocains font subitement preuve de bien moins de tolérance.
« Le lesbianisme n’est pas une bonne chose. Notre Dieu nous l’interdit, c’est haram » explique Hasnae Krimi, 22 ans, étudiant en linguistique à l’université Mohammed V de Rabat. Ce dernier croit d’ailleurs que l’augmentation des catastrophes naturelles et des maladies sont autant d'avertissements appelant à rejeter l’homosexualité. La plupart des gens vivant dans les pays musulmans répondent de la même façon : l’homosexualité est haram,prohibée par Dieu.

Une loi stricte mais pas complètement appliquée

Même après le printemps arabe, alors que les demandes pour la démocratie et les droits de l’homme se propagent à travers l’Afrique du Nord, la question de l’homosexualité est encore trop taboue pour être discutée ouvertement. Abdellah Taia, un auteur marocain qui a écrit un nouveau livre sur la culture gay en place dans le monde arabe, vit à Paris de peur dereprésailles dans son pays natal.
Selon la loi marocaine, « commettre des actes obscènes ou contre nature avec un individu de même sexe est passible de six mois à trois ans de prison, ainsi que d’une amendeallant de 120 à 1000 dirhams (de 14 à 117 dollars) ». L’Algérie et la Tunisie ont des interdictions similaires. Il n’y a cependant pas eu d’arrestations de femmes au Maroc. Peut-être parce c’estvraiment rare pour une lesbienne de parler ouvertement de son orientation sexuelle, disent les experts.

Sarah et Maria, un amour difficile

Sarah et Maria sont deux marocaines de vingt ans, en couple depuis plus d’un an. Les deux ont demandé que leurs noms de famille ne soient pas utilisés en raison de la stigmatisation et des conséquences juridiques de leur orientation sexuelle. Bien que Sarah étudie dans une université française et que Maria assiste aux cours des Beaux-Arts de Casablanca, elles tentent de se voir le plus souvent possible.
Maria dit qu’elle a su qu’elle était lesbienne à partir de l’âge de douze ans, mais Sarah a lutté lorsqu’elle a commencé à avoir des sentiments pour Maria : « Je n’étais pas encore prête à comprendre comment on pouvait aimer quelqu’un du même sexe ». Maintenant Sarah se prononce en toute confiance : « Je suis lesbienne »
Les deux filles se sont rencontrées en ligne. Un ami commun s’est étonné qu’elle ne se connaisse pas puisqu’elles avaient de nombreux amis à Casablanca. Sarah a donc ajouté Maria surFacebook, en se disant qu’elle la supprimerait plus tard. Au lieu de ça, les deux femmes ont commencé à échanger pendant de nombreuses heures. Pour rencontrer Maria en personne, Sarah a organisé un vol secret en Tunisie, en disant à ses parents qu’elle allait passer un week-end à étudier.

Homosexualité, un sujet tabou en famille

Dans la famille de la jeune femme, personne n’est au courant, mais le couple a déjà avoué son homosexualité à quelques amis et d’autres lesbiennes. Elles en ont également perdu. Sarah déclare que son ex petit copain l’a attaqué à trois reprises dans la rue, parce qu’il avaithonte qu’elle ait choisi d’aimer une femme après lui.
« On ne peut pas compter sur la police » explique Sarah. « Si j’avais signalé les attaques, mon ancien copain aurait pu dire à la police que nous sommes lesbiennes ».
« Derrière cette loi contre l’homosexualité, il y a surtout le poids de la religion » souligne le Dr Abdessamad Dialmy, professeur des études de genre à l’Université Mohammed V de Rabat, et l’un des principaux chercheurs sur la sexualité au Maroc. « Pour la majorité des marocains,l’homosexualité est un péché parce qu’il est rejeté par l’islam. Avoir des relations sexuelles hors mariage est moins condamnable que faire l’amour avec une personne du même sexe. Le premier est simplement un pêché, pas anormal alors que le second est considérécomme une déviance ».

Des idées arrêtées sur l’homosexualité

Les jeunes marocains grandissent avec des idées très arrêtées sur les genres et les rôles de chaque sexe. La pression de la société concernant le mariage est très forte. Ce dernier est d’ailleurs vécu comme l’événement central de la vie pour l’homme et la femme. « Ce n’est pas un choix » dit-il, en expliquant que les femmes homosexuelles finissent souvent par se marier avec un homme. Parfois même des hommes gays. Elles sont nombreuses à garder leurs sentiments secrets.
Sarah raconte qu’elle a rencontré des femmes sur le forum Maroc LGBT (Lesbien, Gay, Bi, Trans)  qui demandaient des conseils sur la façon de devenir hétérosexuelle. Elle en connaît d’autres qui ont renoncé à la religion car « tant de gens disent qu’on ne peut-être à la fois gay et musulman, » dit-elle tristement
Sarah et Maria pensent qu’être musulmanes et lesbiennes n’est pas incompatible : « Je pense que c’est une question d’interprétation. Pour nous, l’amour n’a pas de sexe. Il n’y a aucune limite à l’amour dans notre religion » explique t-elle.

L’avis du Coran

Rien dans le Coran n’offre d’ailleurs d’explications précises. « Certains versets condamnent l’homosexualité masculine, la fornication et l’adultère, mais rien dans l’islam n’évoque la question du lesbianisme » dit Dr Dialmy. Il y a un hadith (paroles orales du prophète Mahomet) qui condamne les actes sexuels entre femmes, bien qu’il y ait un débat pour savoir si le prophète a vraiment dit ça.
« Nous sommes l’exemple concret que nous pouvons être lesbiennes et musulmanes en même temps, » écrit Sarah dans un mail, suivi de « Nous prions, nous jeûnons pendant le mois de Ramadan et ainsi de suite. Nous n’avons pas de convictions différentes des autres musulmans. Nous respectons les croyances que tout musulman doit avoir : ce qu’on lit dans le Coran et pas ce que nous imaginons ».

Des signes d’espoir

Malgré les pressions exercées sur les lesbiennes au Maroc, des signes montrent que la situation pourrait s’arranger. Sarah a d’ailleurs vu se former une communauté croissante de soutien à sa cause. Certes, la majorité se fait en ligne mais les forums comme LGBT Maroc peuvent aider les individus concernés à ne plus se sentir seuls.
D’une manière plus significative, le gouvernement tolère officieusement Kif-Kif, la seule organisation défendant les droits des LGBT au Maroc. Le bureau principal de Kif-Kif est situé à Madrid mais sa visibilité est limitée à quelques conférences et à Mithly, une nouvelle publication distribuée assez régulièrement qui porte les voix des LGBT. Fondée il y a six ans, Kif-Kif tente en vain de devenir une association légale au Maroc.

Une acceptation de la haute société

Cependant, la considération des droits des homosexuels et l’augmentation de personnage lesbiens dans les médias peuvent être source d’une certaine acceptation par la société marocaine, en particulier chez les jeunes les plus favorisés.
« Le lesbianisme ne me dérange pas. Cela s’appelle la liberté, ca fait partie de l’être humain de choisir ce que l’on veut » explique Abdelaziz Liasse, 24 ans, étudiant en psychologie à l’université Mohammed V de Rabat. Il préconise une « lesbianisation en douceur », c’est à dire être discret sur son orientation sexuelle. « C’est un fait existant, mais nous ne pouvons pas admettre l’existence du lesbianisme (dans la société islamique du Maroc) » ajoute t-il. « L’ouverture créerait une « explosion » de chaos dans cette société qui n’accepte pas l’homosexualité. »
Un politique du « pas vu, pas pris » semble se propager. Meryem, 28 ans, qui a également demandé que l’on n’utilise pas son nom, est sortie avec une femme pendant deux ans. Elle n’en a jamais parlé avec ses parents, mais ils ont l’air d’être au courant. « Ils sont plus ou moins ouvert d’esprit, donc je leur parlais de mes petits copains. A un certain moment, j’ai cessé de parler des hommes. Il ne m’ont pas demandé la raison et je pense qu’ils ont compris ». Les parents de Meryem ne lui ont jamais parlé d’orientation sexuelle. « Ils préfèrent se voiler la face » affirme t-elle. Le vieil adage « Pour vivre heureux, vivons caché » prend donc tout son sens.

Encore un long chemin à faire

Zineb, 22 ans - et qui ne donne pas son nom non plus - est une étudiante en linguistique. Elle a déjàembrassé une fille quand elle avait 16 ans. Elle sait que d’autres filles l’ont fait aussi, par attraction ou curiosité. « J’ai quelques amis bisexuels. En tout cas des amis qui s’embrassent entre elles. Elles sont curieuses de découvrir quelque chose de nouveaux, mais certaines sont vraiment attirées, et ce n’est plus de la simple expérimentation. »Zineb est convaincue que la plupart des lesbiennes et femmes bisexuelles se marient avec des hommes. « C’est plus facile et on peut être acceptée par la société » dit-elle. « Si tu veux sortir de la maison familiale, tu dois te marier ». Elles ne croient pas que le mariage gay sera un jour légal dans le pays.

Une réalité que Sarah et Maria vivent chaque jour. « Parfois, nous devons oublier nos rêves professionnels et personnels, » explique Sarah. « Nous voudrions monter une agence de communication au Maroc. Si nous voulons vivre ensemble, se sentir en sécurité, se marier, avoir des enfants, nous ne pouvons pas vivre ici. Nous ne savons pas ce que nous pourrions y faire »
« Nous regardons les films et les séries américaines, comme « The L Word », et nous rêvons de cette vie, mais c’est impossible, » continue Sarah. « Nous voulons juste être libre et en toute sécurité. Peut-être qu’un jour nous vivrons dans un pays où on pourra tous être ensemble. Je veux vivre ici, mais je ne suis pas en sécurité. Je suis marocaine, mais je ne peux pas vivre au Maroc. »

GlobalPost - Adaptation Henri Lahera pour JOL PRESS

mercredi 27 juin 2012

La dernière folie d'un groupe salafiste : la tomate haram



Photo publiée sur la page facebook d'une association égyptienne :
Un quotidien turc anglophone nommé Hurriyet Daily News vient de dévoiler une information qui dépasse l'entendement. Le journal  indique en effet, qu'un groupe de salafistes a récemment appelé les musulmansdu monde entier à ne plus de consommer de tomates considérée comme un « aliment chrétien ». Sur sa page Facebook, l'Association islamique égyptienne populaire a publié la photo d'une tomate coupée en deux renfermant un cœur en forme de croix.
Voici le message qui est annexé à la photographie : “Manger des tomates est interdit parce que les tomates sont chrétiennes. [La tomate] loue la Croix au lieu d'Allah et dit qu'Allah est trois [en référence à la Trinité].Je vous en conjure, faites circuler cette photo car il y a une sœur de Palestine qui a vu le prophète d'Allah [Mahomet] dans une vision. Il pleurait et mettait sa nation en garde contre le fait de manger des tomates. Si vous ne diffusez pas ce message, sachez que c'est le diable qui vous en a empêché.”  
Certains ne semblent reculer devant rien pour appliquer de nouvelles règles religieuses inventées de toutes pièces. Cet appel au boycott ou l'incarnation de la bêtise humaine par excellence ne recevra certainement pas d'échos favorables chez les musulmans.

USA : le Pentagone célèbre la "fierté homosexuelle"





Manifestation de soutien à la suppression de la loi sur le tabou gay dans l'armée, à San Fransisco, le 20 septembre 2011L'armée américaine a célébré mardi la "fierté homosexuelle", une première depuis l'abolition du tabou gay dans ses rangs, permettant depuis septembre aux militaires homosexuels de ne plus avoir à cacher leur orientation sexuelle pour servir leur pays.


Point toutefois de parade colorée sur fond de musique techno dans les couloirs du Pentagone, c'est à une table ronde que les employés civils et militaires du ministère de la Défense étaient conviés.
Après des années d'activisme des associations, de procès pour discrimination et une promesse de campagne de Barack Obama, la loi de 1993, dite "Don't ask, don't tell" ("ne rien demander, ne rien dire"), qui obligeait les militaires gays et lesbiennes à dissimuler leur homosexualité sous peine de renvoi, a été abrogée le 20 septembre 2011.
Elle aura conduit en 18 ans au renvoi de quelque 14.000 soldats en raison de leur homosexualité, selon des sources associatives.
"Pour les militaires gays ou lesbiennes, nous avons enlevé un fardeau réel et personnel de leurs épaules. Ils n'ont plus à vivre dans le mensonge au sein de l'armée", s'est félicité Jeh Johnson, juriste en chef du Pentagone, qui a participé à l'abrogation de "Don't ask, don't tell".
Depuis l'abolition du tabou gay, "il y a eu quelques "incidents isolés", a-t-il admis, "mais presque aucun problème ou effet négatif associé à l'abolition sur la cohésion des unités, y compris les unités combattantes".
L'abolition du tabou gay a été un combat de longue haleine. Des personnalités telles que la chanteuse Lady Gaga sont montées au créneau tandis que certains élus, essentiellement républicains, et certains hauts gradés de l'armée comme le patron des Marines, le général James Amos, craignaient que cela nuise à l'efficacité des soldats au combat.
Pour ne rien brusquer, il a été convenu que la loi n'entrerait en vigueur qu'une fois l'armée prête à un tel changement.
Ce fut le cas après neuf mois de travail. Entre-temps, la quasi-totalité des 2,3 millions de militaires d'active et de réserve, dont une majorité était favorable à l'abrogation du tabou gay, ont été "formés" à l'idée d'accueillir des personnes reconnaissant leur homosexualité.

source AFP




jeudi 21 juin 2012

video : l'impressionnant lavage de la KAABA ce 1er du mois de Chaabane


L'impressionnant lavage de la Kaaba

Chaque 1er du mois de Chaabane (huitième mois du calendrier musulman et mois précédent le mois de ramadan), a lieu le lavage de la Kaaba située à la Mecque. Cette année, le commencement de ce mois correspondra au 21 juin du calendrier grégorien. L'édifice religieux sera lavé comme le veut la tradition avec de l'eau de Zam Zam mélangée avec de l'eau de rose.
Les membres de la famille royale saoudienne ainsi que de nombreux croyants sont généralement présents lors de cet  évènement qui reste malgré sa simplicité, impressionnant. L'extension du Masjid al-Haram à travers les années a poussé les autorités saoudiennes à organiser avec minutie (dispositif sécuritaire important) la préparation de ce jour symbolique pour tous les musulmans.

Nettoyage de la Kaaba l'année précédente :



Source : Al Kanz

Maroc - La liberté sexuelle, un combat de l'association marocaine des droits de l'homme


L’association marocaine des droits humains (AMDH) a appelé les autorités à abroger la loi du code pénal qui interdit les relations sexuelles avant le mariage sous peine d’emprisonnement. L’AMDH dénonce «l’hypocrisie» du système juridique en vigueur dans le royaume.
«L’ONG a adressé un appel à l’abolition de l’article 490 du code pénal marocain, incriminant toute relation sexuelle entre homme et femme adultes non liés par le lien du mariage» rapporte E-Marrakech.
«L'article 490 du code pénal marocain prévoit une peine d'un mois à un an de prison pour toute relation sexuelle en dehors du mariage entre deux personnes adultes» précise Jeune Afrique.
«Cet article traduit l'hypocrisie de notre système juridique vis-à-vis de la liberté sexuelle, qui est l'une des libertés individuelles que nous défendons», a déclaré à l'AFP Khadija Ryadi, la présidente de l'AMDH.
Elle a plaidé lors d’une table ronde organisée à Rabat pour une mobilisation des «forces démocratiques pour une lutte continue jusqu’à la sécularisation de l’Etat et l’instauration d’un élargissement des libertés individuelles au Maroc».
Elle a souligné que «les libertés sexuelles, de croyance, de l’avortement, de manger en public les jours du Ramadan ou du droit de disposer librement de son corps forment le gros des revendications de la jeunesse révolutionnaire marocaine».

lundi 18 juin 2012

FILM GAY COMPLET "SUMMER STORM" (1h 38min)

Tobi et Achim sont copains depuis des années. L'un barreur, l'autre rameur dans une équipe d'aviron, ils vont disputer la plus grande régate de la région. Lorsque le flirt d'Achim et Sandra devient sérieux, Tobi comprend que ses sentiments pour Achim sont plus que de l'amitié.


Arrive alors dans la compétition une équipe de jeunes homosexuels athlétiques qui affichent fièrement leurs tendances. Tobi et ses camarades sont forcés de revoir leurs préjugés, leurs craintes, et leurs secrètes attirances. Au fur et à mesure que la tension monte, une confrontation entre les jeunes gens devient inévitable, en même temps qu'une violente tempête menace d'éclater sur le lac...




 
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Marcel Khalife chante Mahmoud Darwich...oumi Ahinou ila khobzy oumi wa kahw... Mere J'ai la nostalgie du pain de ma mère,


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oumi Ahinou ila khobzy oumi wa kahw...
Mere J'ai la nostalgie du pain de ma mère,

propos de jaqueline Kelen A ecouter sur l'Amitié

dimanche 17 juin 2012

Magnifique spectacle son et lumière 3D à la mosquée Sheikh Zayed (vidéo)



Un  magnifique spectacle son et lumière 3 D a été donné   à   la  mosquée Sheikh Zayed  à Abou Dabi capitale des  Émirats arabes unis pour célébrer le quarantième anniversaire de l'indépendance. D'une superficie de 20 000 mètres carrés, cette  mosquée à la particularité d'être recouverte de plaques de marbre blanc très recherché et  importé d'Italie. Ce spectacle a utilisé   la technologie de  projection dite "mapping" qui donne un incroyable effet visuel.








vendredi 15 juin 2012

pour le fun quelques bons sketchs de Gad El Maleh


Katia de la Place Clichy qui s'adresse à « Jean Mel » : 

Abdelhak Balabola, le chanteur  :

Abdelhak balabola, le footballeur jongleur :

Le présentateur de « Qui veut gagner de l'argent en masse » :

Le blond dans toute sa splendeur :

Abderezzak el Bahraoui, l'agent immobilier :