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mardi 31 janvier 2012

Ethiopie: Un arsenal législatif contre la liberté d’expression




Reporters Sans Frontières  a publié un rapport sur la liberté d'expression et les conditions de travail des journalistes en Ethiopie, disant que: “Le pays s’est doté au cours des trois dernières années de lois – sur la société civile, sur la lutte antiterroriste, etc. – accusées d’empiéter sur les droits pourtant garantis par la Constitution éthiopienne. C’est en partie cet arsenal législatif qui a pour conséquence directe de réduire l’espace démocratique et la liberté d’expression.”

lundi 30 janvier 2012

VIDEO : It Gets Better un clip pour le compte de «It Gets Better». La chanson choisie: Hair de Lady Gaga. Un titre qui prône le droit à la différence et l'acceptation.


Depuis son apparition sur la toile en 2010, la chaîne de vidéos «It Gets Better», dont le but est de redonner espoir aux adolescents LGBT victimes de harcèlement homophobe, a connu de nombreux contributeurs. Célébrités et anonymes se sont ainsi succédé, affirmant, face caméra à des jeunes ayant du mal à accepter leur homosexualité, que «cela finit par s'arranger».

Aujourd'hui, Colton James Boettcher a décidé de réinventer le concept. Ce jeune homo, originaire de Madison dans l'Etat de Wisconsin et fondateur de sa propre société de production, a en effet enregistré un clip pour le compte de «It Gets Better». La chanson choisie: Hair de Lady Gaga. Un titre qui prône le droit à la différence et l'acceptation.

information inutile mais pertinente


ce matin en me reveillant j'avais encore la tete toute decoiffée comme un chiite apres un attentat sunnite a Baghdad. Alors, pourkoi est on decoiffé apres une nuit de sommeil ????? 

en fait, la nuit, les cheveux kittent le crane pour voyager dans la dar. Ils sont libres de faire ce kils veulent , mais avec une seule consigne : des ke le reveil sonne, ils doivent imediatement rentrer a la base. Cette opération eclair se fait bien sur dans la precipitation, d'ou le desordre souvent spectaculaire de notre rasss au reveil.

y en les medisants ki vont pas me croire : he ben regardez votre oreiller le matin, et le peigne dans la salle de bain, et le dos du petit pull en kasmeer acheté chez gayclothes..... surprise; ya des cheveux partout. Et c est donc bien la preuve que certains retardataires, n'ont pas su regagner a temps notre crane et se trouvent coincés dehors 

je devrais peut etre arreter de fumer les épices du Rif moi ;=)

mecs a louer


Je sais pas si vous avez remarqué mais la mode est en ce moment de renommer les choses ! Un aveugle devient un non voyant , un sourd un mal entendant ,un instituteur un professeur d’école…etc… Alors apres avoir tapé sur google gigolo, pute, prostitué male …et ce sans succes j’ai enfin trouvé le nouveau vocable qui habille le plus vieux métier du monde : Boy escort ! Et alors la des centaines de pages des milliers de mecs…bref l’ebay du sexe.

Tous les sites ont un moteur de recherche détaillé qui permet de choisir en fonction de tas de criteres , lieu ,mensurations, spécialités enfin tout cqui faut ! 
J’ai d’abord tapé le nom de mon kartier mais bon y’a person (c’est peut etre un créneau) .quoique fontainas n'est pas loin

Je me suis rabattu sur la ville entiere et alors la, surprise, 146 mecs proposent leur service, du plus bo au plus moche avec pour chacun une description digne de l’etiquette d’un produit alimentaire, poids, mode d’emploi, ne contient pas d’Ogm, photos du produit sous tous les angles enfin tout quoi pour acheter les yeux fermés. Le prix, pas a la portée de toutes les Bourses (si j’ose dire) : en moyenne 100 euros l’heure 300a 1000 e la nuit. A ce tarif on a intérêt a prendre un paquet de viagra pour rentabiliser au max. Bon y’a aussi des soldes : quelques mecs proche de la date de péremption ou alors de présentation douteuse. On peut s’en tirer pour 100 e la nuit, m’enfin ceux la sont a la baise ce que le Hot dog est au caviar.

Qui trouve t’on sur ce marché de viande ? Pas mal de beurs bien sur pudiquement nommés garcons du sud, des « étudiants »de toutes origines , des pompiers , des flics en uniforme qui arrondissent leur fin de mois, bref un assortiment complet digne du plus grand supermarché.
Pour rassurer le consommateur chaque fiche est assorties des commentaires des derniers clients du genre « jojo est une petite merveille, propre honnete et cultivé,suce comme un dieu » 

Bon j’arrete la sans ca je vais etre trop long tant ce genre de découverte m’a assommé.
Vous voulez savoir si moi j’ai…Heu ca me tente pas vraiment enfin pour le moment  et puis  mes finances sont en baisse alors…J'attends  que ces prestations soient remboursées par la sécu ;=)  'etait Mehdi en direct de gayroméo et autres 

les travestis de casa



lu dans le journal hebdo

Passé minuit, les grandes artères du centre-ville de Dar El Beïda appartiennent à ces drag queens pas comme les autres.

Ils s’appellent Foulla, Kerwilla, Tanjawiya ou Hassaniya. Divas prostituées bas de gamme qui défient estafettes de police, clochards et malfaiteurs pour offrir leurs “charmes” à des clients insatisfaits. Une clientèle hétéroclite, composée essentiellement d’hétérosexuels à la recherche de ces “homos” à l’apparence féminine, «de bisexuels ou d’hommes qui n’ont pas les moyens de se payer les services d’une prostituée, mais aussi des mecs tellement ivres qu’ils ne font plus la différence entre nanas et travestis», plaisante Hassaniya, Hassan de son vrai nom. Les travestis investissent deux grands boulevards du centre ville de Casablanca, Hassan II et Rachidi, «parce que c’est près du parc de la Ligue Arabe. Ainsi, on peut disparaître dans la nature à l’approche des policiers et c’est un endroit idéal pour un rapport sexuel discret», avoue Hassaniya en mâchant son chewing-gum. Les travelos, on peut également les rencontrer sur le Bd Mohammed V, Emile Zola, Bd d’Anfa et sur My Youssef, en face du consulat des Etats-Unis.

Communauté visible

Dans cet univers glauque et surtout dangereux, les alliances sont de mise. Les travestis forment une communauté visible, quoique sujette à des querelles intempestives, et ont de très bonnes relations avec les prostituées. Normal : ces hommes et ces femmes de la marge partagent le même terrain de chasse et n’hésitent pas à se passer l’info sur les rondes de la police. «Si un client me demande où il peut trouver une prostituée, je n’hésite pas à lui passer le téléphone d’une de mes copines. De toute manière, entre femmes, on s’entraide», lance joyeusement Rachida-Rachid qui offre ses services sur le Bd My Youssef. 

A Casablanca, le monde de la nuit se partage entre deux catégories. Les uns veulent claquer de l’argent, les autres sont à l’affût de ces derniers pour leur soutirer leur pognon. Flics, prostitués, travestis, tenanciers de bars et de cabarets, voleurs et chauffeurs de taxis, tout ce beau monde participe à cette chasse au fric. Ces travestis bon marché qui d’ailleurs n’ont rien à voir avec ceux qui sont entretenus par des clients bien placés, vivotent dans un univers violent. Quand ils se confient, ils dégagent une sensibilité somme toute bien féminine.
 
C’est qu’un travesti est bien plus qu’un homme déguisé en femme. C’est aussi une copie d'un original, d'un idéal qui pour le travesti, reste la femme, mais en plus fantaisiste. Le travelo s’épile, se maquille, s’injecte des hormones pour donner à sa poitrine l’apparence des seins, fait de la "lipo" pour avoir des fesses de femme. Côté vestimentaire, un travesti est également crédible… en femme bien sûr : jupes courtes ou tailleurs, escarpins et manteaux de fourrure. Ils adorent la lingerie avec ses strings, porte-jarretelles et autres collants. C’est pour cela que les travestis sont fiers de porter les surnoms de divas des boîtes de nuit ou drag queens. 

Seulement, les travestis de chez nous, ceux qui font les cent pas sur les avenues du centre-ville de Dar Beïda sont loin de représenter ce modèle-là. «Je fais mon possible pour avoir un style d’enfer. Mais, compte tenu de ma situation financière précaire, je me rabats sur les marchés aux puces», se plaint Rachida-Rachid qui se prostitue chaque nuit à l’intersection du Bd Rachidi et Hassan II à proximité du jardin qui porte le nom de «Nevada» et qui fait partie du parc de la Ligue arabe. Passé minuit, cet endroit devient le lieu de rencontre entre les travestis et leurs clients. Les voitures qui y passent ralentissent à la vue du prostitué. Les passes ont lieu dans les voitures ou sous l’ombre des arbres du jardin. Et les prix varient entre 20 DH et 100 Dhs, selon la prestation demandée.

histoires tragiques 

Ayant un penchant prononcé pour l’esthétique, les travestis prostitués de Casablanca conçoivent cette notion autrement. Quand ils évoquent les accessoires qui les rendent plus femmes qu’hommes, ils en parlent plus par nécessité que par plaisir. Normal : la loi de ce marché de la chair est bien dure. Le travelo use de tous les procédés pour paraître jeune, encore attirant. «Avec l’âge et l’usure des longues nuits, les clients deviennent de plus en plus rares. Le maquillage et les artifices vestimentaires nous permettent de faire face à la concurrence des plus jeunes», explique Hassaniya qui, pourtant, n’a pas plus de 30 ans. Ce qui les attriste, ce sont les balafres au visage, causées par l’agression d’un clochard ou les multiples arrestations dont ils font l’objet faute du fameux «mimi» (bakchich dans le jargon casablancais). 

Leurs histoires se ressemblent. Leurs parcours aussi. Avant de se retrouver dans la nature, ils ont été chassés de la maison après que leurs familles ont découvert leur penchant exagéré pour la féminité. Une fois dans la rue, ils se débrouillent comme ils peuvent pour survivre. Le seul boulot à leur portée n’est autre que la prostitution. «J’ai été éduquée comme une petite fille, un peu comme mes cinq soeurs. J’étais efféminé depuis mon enfance. A l’école comme dans le quartier, je faisais l’objet des pires railleries mais aussi de tous les abus. Mon père n’a pas hésité à me jeter dehors», c’est ainsi que Hassaniya décrit son enfance. Il quitte sa ville natale (Sefrou) pour s’installer à Casablanca. Commence pour Hassaniya ses premières aventures nocturnes et ses premières rencontres avec les autres travestis de la ville. «J’ai pu me dégoter une petite chambre dans l’ancienne médina que je partage encore avec d’autres amis. Le soir, il faut bien gagner sa croûte», avoue-t-il difficilement. Le «sriyef» (littéralement argent de poche) est derrière cette lugubre saga nocturne. C’est que le métier a ses risques et pas des moindres. Des rafles des flics (estafettes des arrondissements, GUS, police judiciaire et forces auxiliaires) aux agressions physiques et sexuelles des clochards et délinquants, un travesti débutant passera obligatoirement par la prison pour délit d’homosexualité qui, selon les dispositions de l’article 489 du Code pénal, prévoit des peines de prison allant de six mois à trois ans. C’est en taule que l’apprenti-prostitué apprend les secrets du métier, les coins les plus sûrs de la ville, comment gérer des policiers véreux et comment soutirer un max de fric aux clients. A la sortie de la prison, le jeune travesti apeuré devient un travelo professionnel. 

Welcome to the jungle

La dure réalité des travestis les pousse à adopter des méthodes radicales. Des prostitués homosexuels et travestis sont devenus plus violents. «Il y a ceux qui s’associent à des voleurs pour agresser des clients. D’autres brandissent une lame de rasoir et menacent de se faire mutiler le bras. Alors qu’il y a ceux qui ,une fois dans la voiture, s’approprient la clef de contact et ne la rendent que quand le client leur donne plus d’argent», raconte ce travesti qui préfère garder l’anonymat. Des clients qui veulent bien sûr rester anonymes et ne peuvent en aucun cas déposer plainte au commissariat. C’est ainsi que la nouvelle génération des travestis qui se prostituent dans les dédales casablancais est devenue plus agressive, moins timorée. Dans une voiture, dans le hall d’un immeuble ou dans ce qu’ils aiment bien appeler «hôtel moulana» (ruelles sombres ou impasses difficiles d’accès pour les agents d’autorité), ils s’associent aux «lakajas» (voleurs de service) pour une mise en scène où le perdant n’est autre que le client. Dans une ville qui couve les désirs secrets des uns et les destins tragiques des autres.

(source ke journal hebdo)

samedi 28 janvier 2012

ZIK Amel Mathlouthi - Bin El Wedyen


RAP Vipa - Egleb Mandhrek 2012 إڨلب منضرك


Le film 'Dima Brando' de Ridha Behi au Festival du cinéma de Toronto


Le réalisateur tunisien a raconté, avec succès, l’histoire d’un petit coin de terre, où les individus qui le peuplent rêvent de l’Atlantide, cette citée perdue…engloutie. Comme les espoirs des protagonistes.

Entre le “Moi” et l’“Autre”, il y a certes de la distance, mais il y a surtout de la complexité. Même si l’univers est construit sur des antagonismes, l’expérience humaine nuance ce monde et lui donne du sens. C’est ce que le cinéaste tunisien, Ridha Behi, nous a montré dans son long-métrage Dima Brando, projeté, avant-hier après-midi à la salle Essaâda d’Oran, dans le cadre de la compétition du 5e Fofa. Dima Brando commence par une mise en abyme, où on voit le réalisateur lui-même relater son histoire avec Marlon Brando, un monstre sacré du cinéma. 

Ridha Behi était entré en contact avec la star dans le but de faire un film sur sa vie, mais hélas, la mort avait été plus forte. Par cette distance que le réalisateur installe avec la fiction, le spectateur est d’emblée placé dans le vif du sujet : le rapport entre le “Moi” et “l’Autre”, d’autant que Ridha Behi explique, dès le départ, que le contexte mondial a changé. Se filmant en train d’écrire, et accompagnant cette image par une voix-off, le réalisateur partage ses profondes pensées, voire ses plus grandes obsessions. 

Il semble nous dire en filigrane que si la perception que le “moi” (relatif à un “nous”, dans les sens tunisiens, maghrébins, arabes, musulmans) se fait de “l’Autre” (envahisseur, sanguinaire…) n’est pas très reluisante, la conception de “l’Autre” ne l’est pas moins, d’autant qu’après avoir longtemps été construite sur une image orientaliste, largement exotique et forcément réductrice, depuis le 11 septembre 2001, l’arabo-musulman a été diabolisé. Mais l’exception qui confirme la règle existe bel et bien. Marlon Brando en est une. L’image qui au départ était en noir et blanc (accompagnée d’images d’archives et d’extraits de films de Marlon Brando), la couleur intervient et le décor change. 

L’intrigue commence. Dima Brando est l’histoire d’un village en Tunisie, dans lequel le quotidien et la monotonie pèsent de tout leur poids. Anis, le personnage principal, est un jeune homme qui rêve d’amour et d’horizons lointains. Un jour, le village calme et paisible se transforme en un lieu de tournage, puisqu’une équipe américaine s’installe dans ce petit coin tranquille pour tourner le film l’Atlantide. Ridha Behi montre, avec grande subtilité, comment les équipes de tournages étrangères exploitent les populations locales, et les différents clichés et autres idées préconçues dont ils n’arrivent à se départir. La star du film, James, tombe sous le charme d’Anis, et tente de le convaincre que sa ressemblance avec Marlon Brando pourrait lui ouvrir les portes d’Hollywood. 

Le jeune homme, le cœur plein d’espoir croit à l’histoire de James et décide de tenter l’aventure hollywoodienne, mais pour cela, il lui faut non seulement beaucoup d’argent mais également un visa. 

Jeunesse perdue  en Atlantide
Beaucoup d’événements s’ensuivent et la tragédie finit par pointer le bout de son nez. Avec l’énergie du désespoir, Anis tente d’émigrer clandestinement. Ce sera le geste de trop ! Cette intrigue est entrecoupée par des images représentant des tournages qui ont été réalisés en Tunisie, et qui soutiennent le propos du film. 

La proposition sincère et puissante de Ridha Behi, a été appuyée par une exceptionnelle image, où le cinéaste nous a épargné les cartes postales superflues, les symboles contrefaits et les messages inutiles. Il a plutôt truffé son film de clins d’œil (aux films de Marlon Brando, à Shakespeare (le Roi Lear, Hamlet)), de références, de codes et de messages subliminaux.

En effet, il existait des scènes codées annonciatrices des évènements qui allaient se produire (une vue sur le cimetière de Sidi Bousaïd qui annonçait un destin funeste ; la scène de la jeune femme lavant la laine, ce qui annonçait le retour éminent d’Anis ; Atlantide, le titre de la fiction tournée dans le village est une référence à l’émigration clandestine…). La dimension mystique est largement présente dans le long-métrage, avec notamment la scène de retrouvailles entre Anis et sa dulcinée dans le mausolée de Sidi Jabeur, ce qui exprime la pureté des rapports entre les deux amoureux, mais également la grande ouverture de la pensée mystique, et par extension de l’Islam. 

Le réalisateur tunisien a raconté, avec succès, l’histoire d’un petit coin de terre, où les individus qui le peuplent rêvent de l’Atlantide, cette citée perdue…engloutie, comme les espoirs des protagonistes. Tout comme le projet avorté de Ridha Behi avec Marlon Brando, Dima Brando est l’histoire d’une vie heureuse reportée…


vendredi 27 janvier 2012

VIDEO (anglais sous titres francais) "We believe in basic Human Rights" - Message by Aung San Suu Kyi sur les droits de l'homme


Video : Comment concilier prière et travail?

Comment concilier l'accomplissement obligatoire des 5 prières quotidiennes avec les horaires de travail? Le Cheikh Tahar Mahdi répond à cette interrogation. Docteur en civilisation et en langue arabe, il est également détenteur d'un diplôme en charia'a de la prestigieuse université de Damas.


jeudi 26 janvier 2012

ZIK Mohamed Lamine Featuring Reda K6 - Oh Mama Mia


Comment les Anonymous attaquent-ils des sites ? Bref petit résumé pour les débutants lol

Comment les Anonymous attaquent-ils des sites ?


Dans l'ombre des réseaux de discussion instantanée IRC, les Anonymous organisent leurs "opérations". La récente "opération Megaupload" (ou "opMegaupload") visant à dénoncer la fermeture du site de téléchargement est révélatrice du mode d'action de ces cyber-militants. 
Pour faire entendre leur voix, ils s'attaquent à différents sites, le plus souvent pour défendre la liberté d'expression. 

Sur les réseaux de chat IRC, les Anonymous de tous horizons discutent pour définir les sites à attaquer. "Cibles" qui sont alors proclamées comme telles sur les réseaux sociaux (Twitter et Facebook) et sur différents sites (Pastebin, Anonnews, Anonnet...). "Sur IRC, on définit les cibles en lien avec notre opération avant d'inviter tous les Anonymous à attaquer", résume un Anonymous. 
"Feu !" 

Par la suite, les attaques prennent le plus souvent la forme de "déni de service" (ou "DDoS") qui consiste à surcharger un site en requêtes jusqu'à ce que le serveur cède et que le site ne soit inaccessible. 
Pour ce faire, les Anonymous invitent à s'équiper d'une "arme", la plus utilisée étant le "High Orbit Ion Canon" (ou "HOIC"). Une fois installé, ce programme s'utilise en quelques clics. L'internaute renseigne le site à attaquer, choisit la puissance de son attaque (faible, moyenne ou forte) et clique sur "feu !". Le logiciel va alors multiplier les requêtes sur le site, c'est-à-dire rafraîchir de très nombreuses fois la page (on parle de "flood"). 
Avec ce type de logiciel, l'union fiat la force. Un internaute isolé peut difficilement nuire à un site. Toutefois, si plusieurs internautes attaquent au même moment la même cible, alors le site peut rapidement être surchargé de requêtes et passer hors ligne. 
Jusqu'à 5 ans de prison 
"C'est simple comme bonjour", commente un Anonymous francophone, avant de préciser : "il est aussi fortement conseillé d'utiliser un VPN ou un proxy". En effet, dans l'attaque d'un site, celui-ci peut lister les adresses IP des attaquants, soit les identifiants qui mènent jusqu'à la véritable identité de l'abonné internet. Les VPN et proxys permettent de masquer cette adresse IP pour éviter d'être identifiable. 
"Les chances de vous faire prendre (et de vous faire arrêter) sont faibles, mais il y a toujours un risque", affirme un document Anonymous qui dresse une liste de VPN. 
Attention, l'usage des logiciels "de DDoS" est illégal à toute autre fin que des tests techniques. L'usage qu'encourage donc les Anonymous est considérée, au regard de la loi, comme une entrave au bon "fonctionnement d'un système de traitement automatisé de données" et est passible d'une peine maximale de cinq ans de prison et 75.000 euros d'amende. 
Un document de l'opération Megaupload conclu d'ailleurs : "Nous ne sommes pas responsables des actions commises par toutes les personnes qui liraient ceci. Si vous choisissez de [nous suivre], vous le faites en connaissance de cause".

mercredi 25 janvier 2012

Video : Anonymous le Manifeste d'anonymousl








De nombreux artistes répondent à l'appel d'Anonymous et apportent leur soutien. Voici la contribution musicale d'un artiste anonyme « Anonymous #Manifeste#Musical » mis en image par Anonymous. Les paroles sont librement inspirées par la communication d'Anonymous Francophone et la vidéo « Appel au Armes » que nous avons publié pendant la révolution libyenne puis remixé version 2012.

Artiste Anonyme : A toute fins de propagande, je tiens a signaler mon humble contribution musicale en toute sympathie. J'espère que votre « Appel aux Artistes » rencontrera d'autres initiatives semblables. Anonymous votre appel aux artistes a été entendu.

mardi 24 janvier 2012

DVD Gay Crush de michael j saul (trailer)




Quatre histoires d'amour et de désir ...

CRUSH est une anthologie en quatre parties qui explore la multitude d'émotions et de couleurs dans les relations gay.

NE DEMANDE RIEN :
James profite de chaque instant avec Cameron, son amant militaire, qui se prépare à partir en Irak pour la deuxième fois. Lors de la petite fête de départ, Cameron confronté à une jeune fille agressive, Chloé, doit faire face à ses sentiments les plus profonds sur l'amour et la guerre...

FRÈRES DE SANG :
Gerald, un jeune gothique, tombe sous le charme de Christian. Leur attirance physique indéniable devient intrigante lorsque Gerald découvre que Christian est un vampire. Bien que Christian essaie de garder ses distances, Gerald tombe rapidement amoureux et plonge très vite dans le monde secret de son ami. 

COUPS DE PINCEAU :
Michael Lopez, un étudiant en art, accepte un stage très convoité auprès de Robert Brooks, un peintre célèbre à la personnalité sombre et colérique. Les deux hommes vont découvrir des aspects de leur personnalité qu'ils auraient voulu ne pas connaître... 

RESPIRE :
Une histoire vraie et poétique qui retrace le parcours d'un jeune homme en proie à ses complexes et aux sentiments qu'il éprouve pour un de ses camarades de classe... 

Caractéristiques techniques

LANGUES :AnglaisFORMAT IMAGE :
SOUS-TITRES :FrançaisFORMAT ECRAN :16/9
DUREE :104 mnSTANDARD :DVD 9 - Pal
AUDIOStéréoZONES :2

Honte : Accoucher aux check-points en Palestine (vidéo)


A tous ceux qui n’y croient pas, qui prétendent que l’on exagère, voici une vidéo d’une femme en train d’accoucher au check-point de Kalandia en Cisjordanie, ainsi qu’un article de la revue scientifique britannique ’The Lancet" sur les femmes palestiniennes qui sont obligées d’accoucher aux barrages de l’armée israélienne, en Palestine. Il faut savoir également qu’un nombre croissant de Palestiniennes, pour éviter d’être confrontées à ces situations dramatiques, choisissent d’accoucher chez elles, dans des conditions souvent précaires.
L’IRIN, un service du Bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires des Nations-Unies, attire l’attention sur une série d’études concernant la santé publique en Palestine occupée publiée par "The Lancet". Etudes qui soulignent que des femmes palestiniennes sur le point d’accoucher sont empêchées par l’armée d’occupation d’aller à l’hôpital.
Elles accouchent parfois au bord d’une route devant un check-point de l’armée d’occupation, comme dans la vidéo ci-dessous qui n’est pas récente, mais que nous n’avions jamais visionnée. Elles y meurent aussi, de même que les enfants qu’elles portaient.
Extraits du Lancet : www.pourlapalestine.be
"Les restrictions à la circulation constituent une source quotidienne de tension et d’anxiété dans les territoires palestiniens occupés. Outre les fouilles fastidieuses et humiliantes effectuées aux postes de contrôle, les résidents ne savent jamais combien de temps leur déplacement va prendre, ou même s’ils pourront effectivement se déplacer. Cependant, en cas d’urgence médicale, ces restrictions peuvent être une question de vie ou de mort.
L’année dernière, les collaborateurs de The Lancet ont décrit de manière très réaliste la terreur ressentie par les femmes sur le point d’accoucher lors des raids de bombardement israéliens sur Gaza au début de l’année 2009. Ces femmes savaient qu’elles pourraient avoir besoin d’une aide médicale d’urgence alors qu’elles se trouvaient prisonnières chez elles pendant les attaques israéliennes. Cette année, un autre chercheur s’est intéressé à ce qui arrive aux femmes dont l’accouchement a déjà commencé et qui se trouvent aux points de contrôle [de l’armée d’occupation].
Halla Shoaibi, de l’université américaine d’Ann Arbor, estime que dans la période qu’elle a étudiée (2000-2007), 10% de Palestiniennes enceintes ont été retenues à des points de contrôle alors qu’elles se rendaient à l’hôpital pour accoucher. Cela s’est notamment traduit par une augmentation considérable du nombre de naissances à domicile, les femmes préférant éviter les déplacements routiers pendant l’accouchement de crainte de ne pas arriver à l’hôpital à temps.
Les craintes de ces femmes sont justifiées. Mme Shoaibi indique que 69 bébés sont nés à des points de contrôle au cours de ces sept dernières années. Trente-cinq bébés et cinq mères sont décédés, un résultat qu’elle assimile à un crime contre l’humanité.
Source : http://www.thelancet.com/health-in-the-occupied-palestinian-territory-2011 - voir : "childbirth at checkpoints"

lundi 23 janvier 2012

Midnight Express - Love Scene (the famous shower scene)


MegaUpload : quelles alternatives suite à la fermeture ?



Coup de tonnerre dans l'univers du partage de fichiers ! Suite à la fermeture hier du site Megaupload par le FBI, de nombreux utilisateurs se voient dans l'obligation de se passer du service. Même les abonnés ! En attendant, le FBI inculpe 7 employés de MegaUpload dont le fondateur du site de partage Kim DotCom.

MegaUpload: R.I.P...

Si des personnes sont prêtes à débourser quelques euros pour profiter d'un service "pirate", c'est bien qu'il existe une réelle demande pour des services de partage payants... MegaUpload fermé, ce n'est pas pour autant que la planète Web s'arrête de tourner. De nombreux services de partage de fichiers continuent de sévir sur Internet.
Voici 2 tableaux récapitulatifs des offres en ligne, publiés à l'occasion de notre comparatif des services de partage en ligne Softonic daté du mois d'août 2011 :

Compte Free

Capacité de stockageLimitation de transfertsDate d'expirationGestion des fichiersTéléchargements simultanésTemps d'attente
500 MoNon30j/90jSeulement pour les membresNonVariable
200 MoNonSur avertissementSeulement pour les membresOuiNon
2000 Mo30 min.90jOui, FTPNon15s
*200 Mo/ 10GoNon30jOuiNonVariable
300Mo/2Go10 fichiers/ 8h20j/45jSeulement pour les membresNon60s
2000 Mo/ 500 Go150 Mo/h90jSeulement pour les membresNon+30s
1 GoNon60jOui, et FTP aussiNon20s
2 GoNonNonNonNon100s
*De 2 à 8 GoNonNonOuiOuiNon
*Nécessite un enregistrement au préalable

Compte Premium

Capacité de stockageLimitation de transfertsDate d'expirationGestion des fichiersTéléchargements simultanésPrix
2Go150Go/mNonOuiOui$9.95
10Go/100Go100Go/mNonOuiOui$9
100GoNonNonOui, FTPOui$9
5Go/100Go100Go/mNonOuiOui$9.95
Illimité/1ToNonNonOuiOui$8.49
2000Go24Go/jNonOuiOui$9.70
2GoNonNonOuiOui$13.80
2GoNonNonOui250 fichiers$11.95
Illimité/50GoNonNonOuiOui$9.95
Les offres exposées, relevées au mois de juin 2011, ont sans doute évolué depuis.
Vous étiez utilisateur de MegaUpload ? Vous en utilisez un qui n'apparaît pas dans cette liste? N'hésitez pas à venir partager votre expérience avec la communauté dans les commentaires de ce billet.


Source : softonic